pourquoi les femmes voteront NON le 19 mai 2019! – 19.05.2019> Waffengesetz: NON – droits sur les armes: NON – batte de baseball quel prix

  • Barres de toit Toyota ProAce City (05/19-) Menabo Professional taille L
    Pack complet pour Toyota ProAce City à partir de Mai 2019, avec points de fixation sur le toit. Référence Menabo comprenant :- 3 x barres de toit Menabo Professional 135cm taille L- 2 x kit de fixation Menabo 603FP- 1 x kit de fixation Menabo 605FPToit avec points de fixation :Des points de fixation se trouvent sur le toit. Ce sont de petites trappes qui coulissent ou se soulèvent, laissant apparaître les points d'ancrage.Exemple de toit avec points de fixation :
  • Barres de toit Toyota ProAce City (05/19-) Thule ProBar Alu
    Pack complet pour Toyota ProAce City à partir de Mai 2019, toit avec points de fixation.Le pack contient :- 2 barres de toit Thule ProBar Evo 135 cm- 4 pieds de toit Thule Evo FixPointRail Evo 7107- le kit de fixation Thule 7015 permettant l'installation du matériel.Toit avec points de fixation :Des points de fixation se trouvent sur le toit. Ce sont de petites trappes qui coulissent ou se soulèvent, laissant apparaître les points d'ancrage.Exemple de toit avec points de fixation :
  • Barres de toit Toyota ProAce City (05/19-) Menabo Tema Acier
    Pack complet pour Toyota ProAce City à partir de Mai 2019, avec points de fixation sur le toit. Le pack contient :- 2 barres de toit profilées Menabo Tema en acier- 4 pieds de toit Menabo Tema- le kit de fixation 503FP permettant l'installation du matériel.Toit avec points de fixation :Des points de fixation se trouvent sur le toit. Ce sont de petites trappes qui coulissent ou se soulèvent, laissant apparaître les points d'ancrage.Exemple de toit avec points de fixation :
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« Le 19 mai 2019, je voterai NON à la loi européenne sur les armes
»
«Notre équipe d’armement a fait ses preuves et fait de la Suisse l’un des pays les plus sûrs au monde. Nous voulons préserver les accords de Schengen, mais nous devons rejeter la nouvelle directive européenne sur les armes, qui n’entraînerait que des restrictions injustes et coûteuses pour les citoyens respectueux des lois sans améliorer la lutte contre le terrorisme et la criminalité. L’UE doit accepter notre décision démocratique. Sinon, cela prouverait la volonté de Bruxelles de nous asservir. Et cela, franchement, nous n’accepterons pas. « 

Le tir sportif est comme le yoga. Juste un peu plus haut.

par Bruno Buchs, en collaboration avec « Krav », avril 2019

En Suisse, pays protégé des conflits par l’âge, outre le tir au sein de l’armée, l’utilisation des armes se limite au tir sportif – précision ou vitesse dans l’une des nombreuses disciplines nationales ou olympiques – ou au tir récréatif.

En fait, très peu de cartouches sont tirées pour défendre la vie ou l’intégrité physique, pour suicide, crime ou par les forces de police en mission. Aussi rares soient-elles, il ne s’agit pas de cacher la gravité de certains faits, mais il est évident que le nombre de cartouches tirées dans ces conditions est anecdotique.

L’arme de service, l’armée, a vraiment un objectif premier: permettre au soldat civil de défendre son pays en cas de conflit obligeant la Suisse à mobiliser son armée de milice. Il semble si improbable que certains veuillent abolir l’armée. Ils ont tort. L’histoire ne cesse de nous le montrer.

Bien que ce débat ne soit pas ce dont nous discutons aujourd’hui, nous disons clairement que notre peuple dans le monde d’aujourd’hui doit avoir des forces armées pour défendre sa souveraineté, ses familles, ses enfants, leurs biens et leurs pays et leur démocratie unique au monde.
Et nous avons la chance que notre armée de citoyens soldats représente le peuple, contrairement à une armée professionnelle.

Mais que recherchent ces propriétaires d’armes, ces tireurs, ces chasseurs, ces collectionneurs?

On pourrait poser la même question aux adeptes du yoga, aux passionnés de beaux corps, aux passionnés de plongée, aux amoureux de littérature ou au Béjart Ballet de Lausanne.

C’est toujours la passion, la recherche de la perfection, la parfaite maîtrise du geste qui anime ces « aficionadas ». Le tir est un art qui demande un haut niveau de technique et de concentration, tout en finesse, avec une grande maîtrise de soi; très loin des productions cinématographiques.

Puisqu’il est nécessaire de maîtriser le corps et l’esprit, le tir est-il comparable au yoga, juste un peu plus haut?

Nous sommes à des années-lumière des préjugés des hoplophobes, qui tentent de dépeindre les propriétaires d’armes à feu, les collectionneurs, les chasseurs et les tireurs comme des personnes potentiellement violentes et socialement dangereuses.

Les femmes qui possèdent des armes pour leur propre défense sont en minorité, d’autant qu’en Suisse il est presque impossible d’obtenir un permis de port d’armes – ce qui permet le transport dans les espaces publics. Le cadre juridique est très différent: les propriétaires d’armes qui pratiquent le sport ou le tir récréatif ont leurs armes chez eux, bien protégées contre tout accès non autorisé. On ne peut qu’imaginer que si ces femmes devaient défendre leurs enfants ou leurs proches contre des agresseurs violents qui manquent d’humanité, dans une situation d’extrême urgence et de danger réel et immédiat, elles sauraient utiliser leurs armes, en dernier recours.

En Suisse, nous ne sommes pas habitués aux attitudes agressives et aux manifestations de violence. En tant que soldat qui garde son arme pour les besoins du service de la patrie – et qui est aussi mère, avocate, trésorière, sage-femme, mécanicien, gérant, politicien, etc. -, le propriétaire de l’arme civile est une personne responsable, fiable et personne respectueuse des lois. Elle manipule ses armes comme elle manipulerait n’importe quel produit potentiellement dangereux. C’est une gestion réfléchie et clairvoyante, en pleine connaissance de cause, en contrôlant le stockage, le transport et l’utilisation, conformément aux réglementations légales.

Le projet de loi peut-il réduire le nombre de victimes de violence domestique ou de suicide?
Une réduction est purement hypothétique: en l’absence d’arme à feu, on observe généralement un transfert vers d’autres moyens (utilisation d’objets contondants, armes blanches, pendaison ou «accident personnel», etc.).
Le problème fondamental du suicide et de la violence réside dans la nature humaine et non dans l’objet utilisé (couteau, batte de baseball, voiture, train, corde, poison ou arme). Les armes à feu ne sont de loin pas l’arme suicidaire la plus utilisée, sans offenser certains qui se concentrent sur les armes au lieu de traiter des problèmes sociaux et humains.

Le 19 mai 2019, les femmes suisses doivent dire non à la nouvelle loi sur les armes à feu.

Ce non est constructif car il permet à la Suisse de maintenir et, si nécessaire, de développer un cadre juridique éprouvé et adapté. Personne à Bruxelles ne sait ce qui est bon pour nous et ce qui ne l’est pas.

Ce non est tourné vers l’avenir car il envoie un signal clair à Berne et à Bruxelles: oui à Schengen / Dublin et non à une directive européenne qui était évidemment intentionnelle sous de faux prétextes et que nous voulons désormais transmettre à tout prix, de tourner avec fausses menaces sur les conséquences possibles d’un refus.

Le 19 mai, avec NON, ce n’est pas aux femmes suisses de prendre position pour ou contre les armes sans parler d’un prédateur comme Jean-Claude Junker peut venir en Suisse voler un baiser à un conseiller fédéral et exiger l’application du droit européen (inutile, bureaucratique et trompeur); ou si notre législation nationale, déjà restrictive, adaptée à nos besoins de sécurité et qui s’est avérée précieuse, reste valable pour tous les propriétaires d’armes à feu.


Pour nos lecteurs germanophones:
www.liberalarms se réjouit du nouveau site Web du comité «Les femmes pour le droit de posséder des armes»
https://www.frauen-gegen-das-entwaffnungsdiktat.ch/
Veuillez soutenir ces femmes engagées qui disent non à l’insécurité et Non à l’abus dire.

… Le dernier mot